C’est toujours agréable d’écouter Trevor à la télé, il a une joie de vivre et une diction parfaite. Ce qui permet évidemment d’améliorer son niveau en anglais en comprenant aisément.
Lire aussi: Franck Tetty, citoyen africain entre deux nationalités
Trevor, né d’un crime
Comme tout autobiographie, l’auteur parle de sa vie, ses frasques, ses douleurs, ses joies. Et c’est agréable de lire parce qu’on s’y reconnaît dans la vie des autres parfois. Et une autobiographie d’une personne célèbre, c’est comme une autorisation expresse pour jouer au paparazzi.
Alors l’histoire de Noah commence à sa naissance, une naissance dans une Afrique du Sud envahi par l’apartheid. Une pratique abominable de ségrégation raciale. Ainsi la mère de Trevor Patricia fera un enfant avec un blanc! »oh quelle horreur ! » Une noire et un blanc se sont accouplés? Quelle crime!
Nelson Mandela once said, “If you talk to a man in a language he
understands, that goes to his head. If you talk to him in his language, that goes to
his heart.” He was so right. When you make the effort to speak someone else’s
language, even if it’s just basic phrases here and there, you are saying to them, “I
understand that you have a culture and identity that exists beyond me. I see you as
a human being.”
Dans ce livre, Trevor raconte son enfance d’enfant né d’un crime. L’ultime que ses parents ont commis, une défiance aux autorités. Et comme tout péché, sa mère est obligée de le cacher de peur de subir des sanctions.
Patricia, la femme forte
Trevor a une énorme admiration pour sa mère, qu’il décrit comme sage, forte et un peu têtue. Dans le livre, il écrit n’avoir jamais vu sa mère se plaindre d’une quelconque situation. Et sa naissance n’était pas le fruit d’un hasard mais d’une initiative voulue par sa mère. Elle lui a dit »qu’elle voulait cet enfant. Crime ou pas ».
The reason I ride you so hard and give you so much shit is because I love
quelques passages du livre
you. Everything I have ever done I’ve done from a place of love. If I don’t punish
you, the world will punish you even worse. The world doesn’t love you. If the
police get you, the police don’t love you. When I beat you, I’m trying to save you.
When they beat you, they’re trying to kill you
Son père quant à lui ne considérait pas ces questions raciales bien qu’étant blanc de nationalité suisse en majorité. Alors les deux se sont aimés et quoi de mieux que l’amour.
Le parcours exaltant de Trevor
Trevor nous dit que sa mère est »membre du fan club de Jésus » pour rire. Et que chaque dimanche, ils allaient dans trois églises différentes et ce du matin au soir. Sa mère l’a éduqué dans les principes de la religion et le préparait étant enfant à devenir un homme plutôt qu’un garçon. Ils ont vécu de galère en galère dans cette Afrique du Sud. Et aujourd’hui Trevor, le fils de Patricia, né d’un »crime » d’amour, devienne aujourd’hui l’une des personnalités les plus aimés de son pays et d’ailleurs.
Trevor, remember a man is not determined by how much he earns. You can still be the man of the house and earn less than your woman. Being a man is not what you have, it’s who you are. Being more of a man doesn’t mean your woman has to be less than you.”
Quelques passages du livre
Ce livre est comme un film d’action. Comment sa mère le protégeait du régime de l’apartheid ! Quelles difficultés ils ont vécu! Et le pire quand elle a rencontré le père de ses frères cadets… Un alcoolique violent.
Pour améliorer votre anglais, retrouvez le show télévisé de NOAH ICI